Aphrodite C. Constantine

❯ FEAT : Dianna Agron.

Carte d'Identitée Aphrodite Cassioppé Constantine est un individu de sexe féminin qui nous éclaire de son intelligence depuis 856 ans. Cette personne croit qu'elle gagnera le prix de beauté parce qu'elle fait parti des vampires. C'est plutôt quelqu'un de têtue, jalouse, rancunière, arrogante, solitaire, distante, mystérieuse, manipulatrice, râleuse, forte tête, mais aussi Douce, fidèle, rêveuse, brisée, romantique, intelligente, calme, posée, souriante, drôle. ❯ DATE DE NAISSANCE : il y a 1856 ans ❯ LIEU DE NAISSANCE : L'ancienne Constantine. ❯ NATIONALITÉ : Romaine. ❯ CLASSE SOCIAL : Très riche ❯ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. ❯ RÉGIME : Le sang humain, mais également le sang d'animaux, cela dépend de son humeur. ❯ STATUT SOCIAL : Célibataire ❯ CRÉATEUR : Son créateur n'est autre que Elijah Mikaelson[/color]

It's the reason why I love you..

Chapitre I ; Une petite princesse bien perturbante.

« Mon roi, la princesse est encore en train d'essayer de dompter cet étalon. » Ton père passa une main fébrile sur son front, sincèrement, il semblerait que tes envies dangereuses allaient le mener à sa perte. Se levant en pestant contre lui-même d'avoir fait une fille si aventureuse, il se dirigea accompagné de sa cour vers les écuries. Du haut de tes dix ans, tu te trouvais là, au milieu de cette piste de sable, tentant d'approcher cet animal sauvage à la robe noir ébène. « Chut, ça va aller, je ne te veux aucun mal. » L'étalon était immobile, son regard plongé dans le tient, comme pour percer tes pensées, percer ton âme. Un pas, puis deux, puis trois. Très vite, ta main vient frôler ses naseaux si doux, si attirant pour un enfant de ton âge. Ta robe blanche traînait dans la boue, qu'importe, tes vêtements ne semblaient pas être ta préoccupation première. Plusieurs personnes c'étaient rassemblées autour de toi, admirant ton entêtement ou encore ta bêtise. Voilà deux semaines que ton père avait fait de cet étalon sa propriété, cherchant par tous les moyens de le monter sans y arriver. Cet animal ne semblait pas docile, pourtant, te voilà la main posé sur son encolure. Tous le monde retenait son souffle, beaucoup pensaient que tu allais te faire tuer. « Aphrodite, éloignes toi tout de suite de cet animal ! » Cria la voie forte du roi, ton père, alors qu'il avait été rejoint par sa femme. Tu n'écoutais pas, non, trop près du but, tu voulais être la première à monter sur ce magnifique cheval. Un sourire s'installa sur tes lèvres, alors qu'avec douceur, tu laissais ta main glisser sur ses muscles tendus. De ta souplesse légendaire, tu posa ton pied dans l'étrier et fus rapidement sur celui-ci. Des cris d'étonnements, des applaudissements, tu venais pour eux, d'effectuer un miracle. « Mais père, cet animal est à présent miens, je suis la seule à savoir le monter. » Dis-tu en souriant d'amusement, alors que le roi semblait sur le point de faire une crise cardiaque. Une fois encore, tu venais de défier son autorité sous les yeux de ton peuple émerveillé.

Chapitre II ; Petite princesse deviendra grande, mais pas si docile.

« Ma fille, tu épouseras le prince que cela te plaise ou non. Telle est ma volonté. » Un visage fermé, des yeux pétillants de rage, tu observais ton père avec une intensité volontaire. Tu ne t'étais jamais soumise à de telle volonté, pour toi, l'amour ne se commandait pas, il se vivait. Debout dans ta chambre, tes longs cheveux blonds tressés, tu pestas rageusement. « C'est donc ainsi que vous m'aimer ? Vous souhaitez me voir malheureuse dans les bras d'un homme que je ne porte pas dans mon coeur ? Et vous appelez cela de l'amour. » Tu avais toujours redouté cet instant, l'instant ou comme toutes les filles de ton âge, le moment de te marier ferait partie du programme. Non, tu ne voulais pas de cette vie misérable, tu voulais aimer, faire tes propres choix. Tu voulais connaître le grand amour, sentir ton coeur s'affoler face à un homme qui t'aurait mérité. Puis ce prince était tellement...stupide et arrogant ! La colère du roi se fit très vite entendre dans le couloir, alors qu'il hurlait dans ta chambre. « Qu'importe ce que tu souhaites, tu es ma fille, la princesse de Constantine et tu feras ce que je t'ordonnerai de faire. » La porte de la pièce se claqua brutalement, alors qu’immobile, tu restais plongée dans un silence étonnant et perturbant. Les larmes se mirent à couler ses tes joues roses, ton coeur s'emballait sous la peine, la rage, le désespoir. Non, tu ne voulais pas de cette vie, tu voulais pouvoir construire ta vie, la tienne...Te laissant doucement aller sur le sol, ton impression de solitude s'agrandit un peux plus.

Chapitre III ; Et tu succomba à son regard mystérieux.

« Ton père ne va pas apprécier ta tenue ma fille, tu vas encore déclencher une esclandre. » Tu souris avec amusement, justement, là était ton but, provoquer ton père. Marchant dans les couloirs, une musique parvient rapidement à tes oreilles, le bal avait commencé. Celui-ci était célébré en ton honneur, pour tes dix-huit ans, mais également pour tes fiançailles. Chose qui, tu ne le cachait nullement, te déplaisait. Arrivant devant les grandes portes en bois, plusieurs gardes te regardaient avec étonnement, parfois amusement. La robe de ta mère était sublime, couleur ivoire, elle lui allait simplement à merveille. La tienne était, disons, quelques peux différente. D'un noir profond, courte, tu marchais vers ta propre perte. « Qu'importe ce que le roi en pense, je m'habille encore comme bon me semble. » Dis-tu avec un regard provocateur. Les lourdes portes s'ouvrirent sur votre passage, le silence très vite suivi votre entrée et les regards se posèrent sur toi. Tu portais bien ton nom, Aphrodite. D'une beauté éblouissante, ta chevelure blonde était lâchée sur tes épaules fragiles. Ta silhouette parfaite laissait apercevoir des formes généreuses, parfaites. Ce qui clochait, bien sûr, n'était autre que cette robe d'un noir aussi triste que le jour d'un enterrement. Personne n'osa parler, laissant le roi prendre une décision quelconque. Ce fut alors, pour la plus grande surprise du peuple, qu'il se mit à rire. « En voilà une merveilleuse idée, le noir te va tellement bien ma fille. » Tu ne laissa rien paraître sur ton visage, néanmoins, dans les yeux de ton père, tu pouvais y lire une colère sombre. Tu allais en baver plus tard, mais là n'était pas le moment, ton père se tiendrait tranquille devant les autres. La soirée se passa comme toutes les autres, tu passas de mains en mains, saluant des inconnus, des amis et parfois même des ennemis. C'est alors que tu croisas son regard tellement mystérieux. « Elijah, je vous présente ma fille au caractère très intrépide. Aphrodite, je te présente Elijah, un nouvel arrivant dans la cour. » Prenant ta main dans la sienne, il te salua comme il le fallait. « Et bien Elijah, je vous souhaites bien du courage pour supporter de tels hommes autours de vous. » Ton père sembla choqué, l'inconnu en face de toi amusé et toi arrogante. « Ma fille, restes à ta place. » Un sourire se dessina sur tes lèvres, alors que présomptueusement, tu posas ton regard su le roi. « Certes, je n'ai que ce droit, rester à ma place. » Et sans un mot, tu salua de nouveau Elijah avec élégance avant de t'en aller saluer d'autres personnes sans grandes importances.

Chapitre IV ; Il t'aimait, tu l'aimais et sans contre façon tu lui offris ta vie.

« Je refuses de laisser faire une telle chose, te voir dans ses bras me donne des envies de meurtres. » Assise sur ton étalon, tu observais Elijah avec attention. Voici quelques semaines que votre relation était compliquée, tu l'aimais, il t'aimait, mais personne ne devait le savoir. Tu craignais pour sa vie, tu craignais pour la tienne, le prince ,n'accepterait pas de te voir partir avec un autre. Pourtant, ton coeur ne battait que pour cet homme plus vieux que toi. Pour son regard mystérieux, ses manières tellement parfaites, son sourire ravageur. Quand son regard se posait sur toi, tu ne pouvais y lire que tout cet amour qu'il portait à ta personne. Il disait que ton côté sauvage et si imprudent l'avait charmé, outre ta beauté, ton caractère était tellement différent des autres. « Mon amour, nous ne pouvons faire autrement. Fuir tous les deux ? On ne nous laisseras jamais en paix, nous serons traqués comme des animaux toute notre vie. » Stoppant vos chevaux, tu mis pied à terre avec l'aide d'Elijah. Il semblait tellement fort, tellement cultivé, si mature. Il plongea alors son regard dans le tient, cherchant les mots pour t'expliquer une chose que tu n'aurais pu imaginer. « Et si je te disais qu'il y avait un moyen pour que nous vivions heureux, ensemble, pour l'éternité...mais que cela a un prix. » Ton coeur s'emballa, qu'importe le prix que tu devrais payer, si c'était pour être à ses côtés tu aurais vendu ton âme au diable. « Dis-moi. » L'homme te révéla alors ses secrets, son côté vampirique, le fait qu'il était immortel. « Alors dis-moi, souhaites-tu de cette vie à mes côtés ? Si ce n'est pas le cas, j’effacerais ta mémoire comme si jamais je n'avais existé...sinon... » Sans un mot, tu posa tes lèvres sur les siennes, prenant sa main dans la tienne. « Fais de moi celle qui suivra le même chemin que toi, pour l'éternité. »

Chapitre V ; Mon coeur n'a jamais aimé autant, pourtant, ce vide nous éloignes.

Assise sur ce banc, vêtue de ta merveilleuse robe couleur ivoire, tes cheveux semblaient briller au soleil. Les rires d'enfants résonnaient à tes oreilles, voilà deux cents ans que ton immortalité te faisait rester dans ce corps, qui plus jamais n'évoluerai. Le coeur serré, tu savais que jamais, non jamais, tu ne pourrais avoir d'enfants. Cela t'était à présent impossible, interdit. Les heures passèrent, tu devais te nourrir, mais à quoi bon. Mourir était une solution étrangement tentante, surtout dans ses moments de solitude. Elijah comprenait ta peine, malheureusement, il ne pouvait rien y faire. Tu lui en voulait, il aurait dû te laisser plus de temps pour réfléchir, pour évaluer le pour et le contre...Non, il t'avait transformé sans questionnement. Le soleil se mit à descendre dans la ciel, tu ne bougeais pas, non, tu restais plantée là comme une statue immortelle. Passant une main sur ton visage, tu entendis des bruits de pas venir vers toi, une silhouette élégante s'asseoir à tes côtés. Une main se posa sur ta joue avec une douceur étonnante. Tournant ton regard vers l'homme que tu aimais, tu tentas de sourire, pourtant, tu n'y arrivas cas moitié. « Je suis tellement désolé Aphrodite, j'aimerais soulager ce manque, je me sens inutile. » Tu n'osas rien dire, ne pas parler était tellement plus facile pour toi. Tu te contentas de regarder de nouveau devant toi, cherchant un peux de réconfort dans la nuit qui tombait. Ce vide te bouffait de l’intérieur, faisait que malgré toi, tu en voulait péniblement à ce vampire qui partageait ta vie. Te levant en silence, Elijah te suivit mais tu leva royalement la main. « Non, j'ai besoin d'être seule, s'il te plaît. » Dans son regard tu lus la souffrance que tu lui infligeais malgré toi. Ton coeur lui appartenait, ma le douleur semblait estomper ce que tu ressentais. Il resta alors immobile, sentant au fond de lui que tu lui échappait et qu'il ne pouvait rien y faire. T'éloigner sans un regard derrière toi, ce fut la dernière fois que tu vis Elijah.

Chapitre VI ; Je n'ai jamais cessé d'aimer cet homme, qui pour mon plus grand malheur, a capturé mon coeur.

Les années passèrent et jamais tu ne cessas de penser à lui, non, jamais tu n'oublias cet homme que ton coeur réclamait jour et nuit. Le monde avait bien changé, ordinateur, portable, internet, télévision...Tu vivais avec ton temps, tu avançais seule et sans un mot. Avec les années, tu t'étais crée ton monde, ta famille. Effectivement, durant tes voyages, tu fis la rencontre de deux adolescents que tu sauvas de la mort. Ceux-ci, sans familles, décidèrent de faire de toi leur mère adoptive. « Maman, Alex a encore tué le serviteur ! » Ta fille, plantée devant la porte souriait avec ironie. Plus vieille que son frère, elle se contrôlait donc mieux. Passant une main sur ton visage, tu sorti de ta rêverie, cessant de penser à Elijah durant quelques instants. « Je comprend à présent l'exaspération de mon père... » Dis-je avec amusement, alors qu'en silence, mon fils pénétra dans la pièce avec son regard de chien battu. « C'est Kathleen qui m'a poussé à le faire. » Deux vrais enfants de plus de cents ans, pourtant, sa restait des enfants. Levant les yeux vers eux, je souris quelques instants sans dire un mot. J'avais fondé ma famille, certes à ma manière, mais elle restait ma famille. Pourtant, il manquait à ma vie et c'était une évidence. Une personne entra alors dans la pièce. « Madame, nous l'avons trouvé. Il se trouve actuellement à mystic falls. » Ensemble, nous nous regardions et je fis un léger signe de tête. Effectivement, voilà quelques années que je cherchais à retrouver Elijah, espérant expliquer mon départ inattendu. Me levant en silence, mes enfants derrière moi, je dis d'une voie étrangement neutre. « Préparez vos valises, on s'en va. »

Le p'tit joueur qu'on veut connaître !

On t'appelle comment ? Gaëlle. Tu as quel âge ? 22 ans. Tu nous a trouvé où ? facebook. Et t'en penses quoi ? joli forum, je trouve juste la couleur bleu un peu trop sombre. T'as un autre compte ? Lequel ? nop. Tu viens de quel pays ? belgique T'as un autre truc à dire ? tu aime le chocolat? Moi oui hahahah.

© Never-Utopia © code réalisée par Koalz